AccueilÉvènementsFAQRechercherMembresGroupesS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 

 Brian O'Conner

Aller en bas 
AuteurMessage
Brian O'Conner

Brian O'Conner


Meute & Clan : Clan des Gardiens
Âge du personnage : 33 ans

Brumes du futur : Mentaliste
Meute & Clan : Aucun
Âge du personnage : 42 ans

Humeur : Troublé...
Messages : 1222
Réputation : 247
Localisation : Poste de police

Brian O'Conner Empty
MessageSujet: Brian O'Conner   Brian O'Conner EmptyDim 1 Mai 2022 - 18:15




“ Brian O'Conner ”

Les PNJ qui m'entourent, vivants ou morts
Parents : son père Robert Emmett O’Conner, décédé, sa mère : Patricia T. O'Conner.
Fratrie & famille : Fils unique, pas de cousins proches.
Frère de sang : Jansen Avery, ennemi : Capitaine Marvin
Collègues : Richard Turner, Willem Shepherd, Noah Stilinski
Amours : Une fille dans chaque port avant son coming-out. Ex : Jordan Parrish. Petit ami actuel : Alex Cormier.
Autres : Mafdet Mahes druide, Alessandro Amaro ex-amant de Jansen

Possessions
Moyen de transport : Une voiture banale.
Type d'habitation : Une maison qu’il a achetée avec sa solde et prime de 11 ans dans la Navy. La maison aux roses à cause de ses nombreux rosiers et particulièrement ceux capables de bouger, d’attaquer avec leurs épines ou de défendre Brian suite au sang de Jansen qui s’est rependu à leur pied.
Animaux de compagnie : Truc, un chat doué de téléportation, Machin un chien très con croisé bâtard.
Niveau de vie : classe moyenne

Histoire
L’enfance :
Je suis né à Portland, une ville du Maine. Super climat là-bas ! Joke ! Mon père, Robert Emmett O’Conner, était expert-comptable pour le compte d’un gros de l’alimentaire, ma mère, Patricia T. O'Conner, femme au foyer. Je suis fils unique, pas de cousins proches ou éloignés. La proximité de l’océan Atlantique donne à la ville un climat maritime assez frais et pluvieux, à l’image du Maine en général. Dire que j’étais un enfant épanoui serait un peu fort. Je n’étais pas malheureux non plus. Disons que l’ambiance à la maison était mortellement ennuyeuse. Mon père ramenait de son travail ses manies d’expert-comptable. Il calculait tout d’avance, du budget bouffe aux prévisions des vacances de dans deux ans. Il ne laissait rien au hasard. Il avait une sainte horreur de l’imprévu, et des surprises. Tous devaient être planifiés.

J’ai étouffé entre ce père surplanificateur et ma mère qui, en bonne épouse obéissante, n’a jamais osé exprimer le moindre besoin ou envie personnelle. Même les menus ne variaient pas. Poisson le vendredi, pour les convictions religieuses paternelles, et l’indétrônable poulet frites du samedi midi. L’hiver, j’avais droit à l’éternelle soupe de légume le soir. Famille classique, nourriture classique, loisirs inexistants, sauf un seul. Tous les premiers dimanches de chaque mois, nous allions dans un chalet au nord de Bangor pêcher la truite et tout autre poisson qui voulaient bien montrer le bout d’une nageoire. Le trajet était interminable, car O’Conner sénior roulait toujours 10 miles en dessous des limitations de vitesse... Coincé à l’arrière avec la glacière et le matériel de pêche, qu’il était inconcevable de laisser-sur-place, je rêvais d’une vie différente, faite d’imprévus et d’action. Même le programme télé était soigneusement choisi et calqué à l’ambiance monotone de la maison. Nous regardions des programmes « sérieux ».

J’ai dû attendre mes 10 ans pour gratter un peu de liberté, grâce à l’autorisation du chef de famille à aller dormir chez un copain. Autant dire que mes amis ne venaient qu’une fois chez moi, pas deux. Les « pas le droit de faire du bruit », ou de « trop bouger » les vaccinait dès la première visite. Je vécus mes rêves de gosse en cachette de mes parents. L’école était pour moi une bouée de sauvetage, un espace où je pouvais y respirer à défaut de briller par mes notes…

L’adolescence, ou la bombe à retardement :
L’entrée au collège va changer la donne. Fini l’école de quartier avec des élèves sages à l’image du coin paisible où j’habitais. Le collège, public évidemment, était à trente-cinq minutes de bus et sa population à l’image de la zone où il se trouvait. Dire que mon monde avait basculé est faux, enfin si... Je me suis adapté… un peu trop bien même… J’ai découvert une autre règle de vie, une règle où le plus fort règne. Une règle qui dit que justement, il n’y a de règles que celles que l’on impose soi-même.

Alors moi, le fils bien éduqué qui récitait ses formules de politesse comme un automate, et qui vivait par procuration, la nuit dans son lit, avec des rêves de combats fabuleux… ce fils-là s’est adapté, et ça lui a drôlement plu ! Je me suis si bien acclimaté aux caïds du coin et aux jeux du plus fort que je passais ma troisième… en maison de correction. Pourquoi ce grand écart ? C’est à ce moment-là que je me suis découvert une capacité étrange et qu’après réflexion que j’ai toujours eue et même déjà utilisé sans m’en rendre compte. Il me faudra plusieurs années pour comprendre ce que je suis capable de faire et mes limites. Je suis capable de créer du vide ou de bouger à distance les fines particules ou les molécules d’air. Cela a l’air anodin, et juste bon à soulever les jupes des filles, mais plus tard entre les mains d’un marine confirmé, c’est devenu un atout qui m’a souvent sauvé la vie.

L’oiseau s’envole du nid :
Autant dire que les relations avec mon paternel ont fini par avoisiner les températures de l’ère glaciaire. Le fils qu’il croyait modèle était mort, il n’avait en fait jamais existé, j’étais juste en dormance. À aucun moment, il n’a admis une seule fois que son éducation psychorigide était la source de mon pétage de plomb à l’adolescence. Même sur son lit de mort, il me reprochera mes écarts… Cet événement arrive un an plus tard. Robert O’Conner perd la vie à cause de sa rigidité maladive. Il s’aperçoit de grosses irrégularités dans la comptabilité de sa compagnie. Sa hiérarchie lui demande de se taire et tente de l’acheter. Si Robert O’Conner n’est pas contre de l’argent en plus, il lui est inconcevable de tricher dans les comptes. Deux types l’attendent quand il rentre chez lui et lui fracassent la tête à coup de barre de fer. Il doit son décès à l’hôpital entouré de ma mère et moi, et non pas dans le caniveau, car ses agresseurs ont été dérangés au moment de l’achever. Mon père gâche son dernier souffle à nous faire la morale à ma mère et moi…

Les années bonheur :
Je dus attendre mes 18 ans pour m’engager dans la Navy. Ce que je fis le jour même de mon anniversaire. J’ai commencé à vivre ce jour-là. J’ai fait mes cent pompes quotidiennes avec le sourire, qu’il pleuve ou que je sois dans la boue. Mes « Yes Sir » au sergent-chef instructeur étaient les plus convaincants, et les plus sincères. J’en ai bavé lors de mes classes, comme tous ceux qui étaient avec moi. Enfin, je m’étais trouvé une famille aimante et solidaire : mon unité. À dix-neuf ans arrive ma première affectation. Je demande une zone de feu. J’atterris donc sur un croiseur au large du Golfe persique dans la 5ème flotte.

Les missions sont longues, plus de six mois en mer et peu d’escales. Lors des permissions à terre, on n’arrive plus à marcher droit, tellement nous sommes habitués à compenser la houle. Mais je suis heureux, enfin je me sens vivant. Je n’ai pas à cacher mes lacunes de gamin qui n’a eu droit à rien. Je découvre la guerre des étoiles à 21 ans dans un cinéma de Colombo au Sri Lanka en version indienne et un pauvre sous-titre anglais écrit phonétiquement. Je m’engloutis en accéléré, tout ce qui aurait dû me faire rêver gamin. À 22 ans, J’ai chialé comme un gosse sur le Roi Lion. Mais aucun de mes camarades n’a songé une fois à se moquer, car pour la plupart, on a tous quelque chose qui a cloché étant môme.

Je reprends les cours par correspondance, j’y mets une volonté de fer. Mon entrain et ma ténacité me valent d’être remarqué par l’officier en second qui me prend sous son aile et m’aide. Je grimpe les échelons rapidement. Plusieurs opérations d’infiltration me permettent d’accélérer mon ascension dans les grades, surtout quand on sauve les miches d’une huile venue faire acte de présence lors d’un conflit un peu médiatisé dans le Moyen-Orient. Mes capacités de mentaliste m’aident à sortir du rang. A 27 ans, j’arrive à obtenir le grade d’enseigne de vaisseau 1ere classe, en gros le rang de lieutenant dans l’armée de terre. Ce qui est plutôt pas mal pour le cursus que j’ai eu. Mes relations familiales se restreignent à des courriers épisodiques avec ma mère. Je lui en veux de sa passivité quand j’étais môme.

Les bonnes choses ont une fin :
Mon nouveau grade me vaut plusieurs affectations provisoires et je finis affecté sur un destroyer commandé par le Capitaine Marvin. L’homme est peu aimé de son équipage. Il se montre arrogant et injuste. Cependant, au début de mon affectation, il semble avoir de la sympathie pour moi. Jeune dans mon poste et désireux de bien faire, je ne me méfie pas. Le comble est que je m’attire l’inimitié des autres qui me traitent de « chouchou ». J’étais encore un type naïf. Neuf ans après mon enrôlement, je pensais à tort bien connaître le microcosme interne de la Navy. Mais l’homme est retors et sait se faire patient et rusé quand il veut quelque chose… Au début, j’ai cru qu’il me voyait comme le fils qu’il n’avait jamais eu. J’ai bénéficié de plus de permission que le reste de l’équipage et bien d’autres avantages que j’aurais dû refuser si j’avais eu plus d’intelligence ou de recul. C’est estomaqué que je compris ce que le Capitaine Marvin voulait vraiment : moi. Jamais je n’avais imaginé qu’un autre homme puisse avoir de tels désirs pour moi. Je ne pense pas être homophobe. Je ne me suis simplement jamais intéressé à la question ni vraiment réfléchi sur ce que j’en pensais. En fait, je m’en moquais totalement. Je ne suis toutefois pas aveugle et je sais très bien que lorsque l’on passe 6 mois en mer… L’homme reste un homme avec des besoins. Je connais quelques camarades qui vivent des relations homosexuelles dans la plus grande discrétion. Personne n’en parle. L’armée n’est pas tolérante, pas du tout en fait. Mais là, il s’agissait de moi, de mon corps…

Ce connard m’a fait boire et a essayé d’abuser de moi. J’ai dû le frapper pour qu’il arrête. Là où le piège s’est refermé, c’est que je n’ai trouvé aucun soutien parmi les hommes, trop contents de voir le chouchou payer enfin ses privilèges. Cela a été le début d’une décente aux enfers. J’ai été mis aux arrêts. Comme nous étions en pleine mer, j’ai dû attendre un mois avant qu’on me remette aux mains de la police militaire. Pendant tout ce temps, ce fumier est venu me visiter dans ma cellule… Un jour, le gardien chargé de moi « oublia » de me menotter à mon lit, sur ordre de Marvin pour avoir toute liberté d’abuser de moi. Profitant de l’occasion, je le tabassais si fort, qu’il a dû être opéré de la mâchoire. Si mon dossier a été classé alors que j’allais passer en cour martiale, c’est que l’équipage a fini par parler… enfin ! L’affaire a été étouffée pour éviter le scandale. Marvin avait des appuis. On m’a proposé une reconversion au NYPD que j’ai acceptée. J’avais été trahi par ceux que je considérais comme ma famille. Je ne voulais plus entendre parler de la Navy.

New York :
L’acclimatation est rude dans cette ville où plus de 8 millions d’individus se croisent et s’ignorent. Mais cette concentration donne la raison d’être du NYPD. Effarant le nombre de malades qu’il y a dans cette ville ! Au bout de six mois, je fais ma place au sein de l’unité où je suis affecté. Je retrouve ce même esprit de corps face au danger. Je lie de nouvelles amitiés. Mais cela reste superficiel. Le moindre regard qui s’attarde sur moi, que cela vienne d’une femme ou d’un homme, car maintenant je suis devenu attentif à cela. Traumatisé par ce qui s’est passé dans ma cellule, cela me plonge le plus dans le désarroi et une phobie du contact, c’est que je ne sais plus trop où je me situe. Je n’ai pas aimé ça, pas avec ce connard… pas avec lui… J’ai fait des recherches sur l’homosexualité en général. Honteux, j’ai effacé mes historiques après chaque recherche, comme si quelqu’un allait venir chez moi ou je ne sais quoi… Je n’arrive pas, non je me refuse à mettre les choses à plat. Depuis, je me répugne à tout acte sexuel, même avec une femme. Je bloque, j’ai l’impression de ne plus me connaître, de ne plus savoir de ce que j’ai envie, ou de qui j’ai envie.

Le quartier est bouclé. Je précède mon équipier, nous passons par les égouts. La prise d’otage dure depuis 2 heures. Il y a déjà un mort, un des surveillants de la banque. La situation est tendue, car les preneurs d’otages semblent venir d’un mouvement terroriste. Si on nous envoie en infiltration, c’est que le bureau est pessimiste sur l’issue pour les otages. Les revendications sont intolérables : ils demandent la libération de plusieurs prisonniers « à risque » de Guantanamo. C’est un directeur de la North Est Bank qui nous montre le chemin jusqu’à une issue confidentielle. C’est dangereux pour un civil de venir là, mais il a refusé de donner le code de la porte. Sans dire qu’il y a aussi une reconnaissance biométrique. Les ordres sont clairs : neutraliser les forcenés par tous moyens possibles, en clair les tuer. Quand nous arrivons de manière discrète par le bureau du directeur d’agence, deux otages sont à genoux dans le hall central de la banque. L’un deux a le canon d’une arme posé sur le front. Au discours rageur de celui qui tient l’arme, nous comprenons que les deux gars qui se font menacer sont en couple… Ils vont mourir pour cela. Je sais que c’est une erreur, car on ne voit pas le deuxième preneur d’otage… Mais il va être trop tard dans une seconde pour ces deux otages... Alors je me montre, épaule mon arme et tire. Le preneur d’otage s’effondre mortellement touché. Mon coéquipier me suit, mais rate le deuxième forcené, en le blessant légèrement à l’épaule. Le temps s’arrête à ce moment-là. La banque explose, le survivant des terroristes s’est fait exploser. J’ai bien tenté de repousser l’explosion avec mon don, mais autant retenir un barrage qui lâche avec les mains… Je sauve les gens qui étaient autour de moi et m’en sors avec un mois d’hôpital… Le bilan est lourd. Je garde ma liberté, car après enquête, il s’avère que les preneurs d’otages avaient l’intention dès le début de se faire exploser la tronche et que j’ignorais qu’ils avaient des explosifs. Les images des caméras ont été analysées à la légère… je n’étais pas le seul fautif, voir même pas du tout puisque mon coéquipier m’a couvert assurant que j’ai agi pour sauver deux vies humaines, au mieux des données que l’on avait. Mais vu le nombre de morts, il fallait que des têtes tombent… Et avec mes antécédents…

Beacon Hills ou plouc-ville : (Résumé des RP écris sur le forum)
Simple flic, enfin avec le grade ridicule de sergent avec des états de service plus que brillants, quelle ironie. On m’envoie m’enterrer dans une petite ville tranquille de Californie… Je m’ennuie rien qu’à y penser dans ce train de nuit qui m’emmène vers l’Ouest… Aider les mamies qui se sont fait voler leur porte-monnaie, ou maîtriser un péquenot un peu ivre les soirs de paye… J’ai le goût amer de me sentir surqualifié pour ce job. Honnêtement, je ne pense pas mériter ce qu’il m’arrive. Je prie presque pour que de terribles événements arrivent à Beacon Hills pour que je me sente utile.

Je me lie d’amitié avec mon supérieur, un Helhound du nom de Jordan Parrish. Il arrive à briser ma carapace et m’apprivoise. Notre amitié se transforme dans une relation amoureuse instable. J’ai toujours du mal avec ça. Quand enfin, nous formons un couple stable, le Helhound reprend les rênes de la vie de Jordan. Il estime que je suis un obstacle à sa mission. Ce que je garde de cette union : un chien idiot et un chat bizarre capable de se téléporté depuis qu’il est allé en enfer avec le Hellhound.

En même temps, j’ai rencontré un drüs, un être végétal à l’apparence humaine. Il devient le frère que je n’ai pas eu. Il s’occupe de mes rosiers. Un jour gravement blessé, j’ai l’idée de le soigner en le couvrant de terre aux pieds de mes rosiers. Il guérit. Mais son sang transmute mes roses qui depuis peuvent bouger leur tige intentionnellement. Faire en sorte que leurs épines ne blessent pas ou au contraire me défendent. Mes roses peuvent s’attaquer à quelqu’un qui me menace et passe trop près d’elles.

Une autre fois, je me perds en forêt en cherchant Jansen. Je me fais attaquer par des plantes qui croient que je lui veux du mal. Jansen n’a d’autre solution que de me transfuser en urgence un peu de son sang pour que je ne succombe pas aux poisons des plantes. Depuis, mon ADN a légèrement muté. Je suis capable de « dialoguer » avec les plantes.

Jansen lui aussi s’éloigne pour une quête personnelle. De nouveau seul, je me concentre sur mon travail, me lie d’amitié avec un nouveau flic : Richard Turner. Un jour, je croise Alex Cormier chez le vétérinaire : Truc et Machin sont malades. Moi aussi. Le druide m’évite une grosse bourde quand le véto me propose d’analyser mon sang pour comparer à mes animaux. Je retrouve le druide quand il s’inquiéte d’une créature dangereuse en forêt. La lutte contre le Crocotta nous rapproche. Une timide liaison s’installe entre nous.

Avec l’abandon de Jordan, mes phobies sont revenues. Alex à force de patience et d’attention arrive à percer mes défenses. Notre relation se construit doucement avec bienveillance. J’aime tout ce qu’Alex représente, et ce même si mon passif militaire et mon métier de flic ne nous place pas de prime abord dans le même camp. Depuis, Alex ne fait plus de généralité sur les flics, comprenant qu’il y a des abrutis dans tous les corps de métier.

Précisions sur mes capacités surnaturelles :
Dialogue avec la flore : le langage des plantes n’est pas audible, c’est difficile à expliquer. Cela passe plus par une conscience collective qui fait circuler des impressions : chaud, froid, soif, danger. Le côté collectif est dangereux pour Brian qui peut s’y noyer et rester en état catatonique jusqu’à la mort.
Son pouvoir de mentaliste agit par télékinésie sur les fines particules. Le plus facile est de jouer avec l’air. Il peut créer des bourrasques qui déstabilisent, ou à l’inverse créer du vide et asphyxier ses adversaires. Son état d’esprit joue sur la force de son pouvoir.
De même, il peut déplacer de fines particules comme de la poussière, des grains de sable, des petits débris végétaux et aveugler un adversaire.
L’utilisation important de son don lui cause des maux de tête, de la fatigue, jusqu’à des saignements du nez, des oreilles.

Who I Am

Âge : 32 ans
Métier : Ex-lieutenant de vaisseau de la 5ème flotte de l’US Navy, Ex-Agent d’intervention au NYPD, flic à Beacon Hills (sergent en passe de devenir inspecteur)
Langues parlées : anglais, espagnol approximatif, arabe (notions)
Nationalité : américain
3 adjectifs pour me décrire : soldat dans l’âme, timide, intègre
Avatar : Dean Geyer

Je suis un / une Mentalise qui commande au vent et aux fines particules. ADN modifié avec un Drü : parle aux plantes
Je suis aussi actif dans :
Dans le futur avec la même histoire

L'Univers...


Les Brumes du présent : 2022

Behind

Vous pouvez m'appeler pseudo et je suis trop âgée pour le dire ^^. J'ai connu le forum par j’en suis le fondateur. Si tu as lu le règlement quel est le mot à donner pour que ta fiche soit validée ?


© Halloween



Refonte de la fiche avec le nouveau template + résumé des liens au 1er mai 2022.

Lien vers mon ancienne fiche


Brian O'Conner Sign_b10
Revenir en haut Aller en bas
https://teenwolf-rpg.forumactif.org/t4595-brian-o-conner https://teenwolf-rpg.forumactif.org/t1180-les-liens-de-brian-o-conner https://teenwolf-rpg.forumactif.org/t4543-brian-o-conner
 
Brian O'Conner
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Brian O'Conner
» Brian O'Conner
» A New Day in a New Life ! [Ryan & Brian]
» Les détails de vie de : Brian O'Conner
» Brian O'Conner aka Dean Geyer

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Brumes de Beacon Hills :: Les Brumes de Beacon Hills :: Le bureau administratif :: Présentations :: Présentations acceptées du présent-
Sauter vers: