Brumes du Passé : Aware Humain Meute & Clan : Aucun Âge du personnage : Charlatan de 31 ans
Meute & Clan : Clan des Gardiens Âge du personnage : Druidon de 30 ans
Brumes du futur : Druide Meute & Clan : Aucun Âge du personnage : Papy de 39 ans
Alias : Pichou Droïde Humeur : Serein Messages : 1537 Réputation : 425 Localisation : Hume les roses
Sujet: Alex Cormier Ven 10 Jan 2020 - 23:10
“ Alex Cormier ”
Les PNJ qui m'entourent, vivants ou morts ★
Parents : Janet Schmidt & Gabriel Cormier, décédés. Fratrie & famille : Michael Cormier, frère cadet, et sa fille. Max et Dean Anderson Garcia, fils adoptifs Amis - ennemis : Peu d’ennemis, tout autant d’amis Collègues : N/A Amours : À quoi bon s’attacher à un passé trépassé? Autres : Charlie Crowley, ancien ami, ancient ennemi, dont il semble refuser de parler.
Possessions ★
Type d'habitation : La maison aux roses Animaux : Truc, un chat qui fait des bonds spatiaux-temporels Chose énième, les chevaux que Derek Hale lui prête, le temps de les débourrer Bidule, le cheval de Brian Galilée, chien appartenant en réalité à Dean et Max Volaille et lapins appartenant également aux orphelins Machin (décédé), le fidèle compagnon canin de Brian Armes : Son intelligence Les bouts de bois et autres bâtons Un couteau de chasse Vestiges d'un entraînement en arts martiaux
Histoire ★
Comme fiche 2022:
Alex est né d'un père franco-manitobain et d'une mère du Wisconsin le huitième jour du huitième mois. Garde-chasse établi à La Broquerie, dans les environs de la forêt de Sandilands, Gabriel y installa sa famille durant quelques années. Militaire de carrière, Janet fut rapatriée alors que Alex n'avait que six ans. Ils déménagèrent tous les quatre au Vermont où Alex et son frère Michael furent initiés à la nature par leur père, qui semblait en connaître tous les secrets. Leur mère les inscrivit à des cours d'arts martiaux, jugeant fondamental qu'ils sachent se défendre en toute occasion.
Un esprit sain dans un corps sain
Telle semblait être la devise familiale, le patriarche en particulier prônant cet équilibre entre les facultés physiques et intellectuelles de ses rejetons.
Quelques temps avant qu'il n'entre de pleins pieds dans l'adolescence, Alex subit la rupture de ses parents, et ainsi sa propre séparation d'avec son père. Il poursuivit sa vie en Arizona avec sa mère et son cadet, se distinguant académiquement par ses résultats impressionnants en sciences naturelles. Tous les jours, il passe des heures en autobus pour se rendre au lycée, à Phoenix, le village de la base militaire n'ayant pas une population infantile jugée suffisante pour y établir une école. Avec ses quelques amis, ils font parfois des conneries qui ne font de mal à personne – des adolescents, quoi – et il évite du mieux qu'il le peut les bandes de chahuteurs. Suivant le mantra parental, et pour prendre du grade social, il s'inscrit dans l'équipe d'athlétisme où il se montre suffisamment bon pour gagner suffisamment de respect pour ne pas se faire achaler.
Ses notes remarquables menèrent Alex à appliquer en biochimie à la Columbia University, New York, où il ne resta qu'une demi douzaine de semaines, déprimé par le manque de verdure de ce mode de vie urbain auquel il n'était pas habitué. Mettant à profit sa citoyenneté canadienne, il s'envola sur la côte ouest et compléta sa licence puis son Master en toxicologie cellulaire à l'Université de Colombie-Britannique et poursuivit l'athlétisme en para-scolaire. Il renoua également avec les arts martiaux et découvrit le bâton de combat, auquel il s'entraîna régulièrement. Pendant ce temps, Michael s'était inscrit à l'université de Pennsylvanie en éducation.
Ne trouvant pas d'emploi et ne pouvant retourner vivre chez sa mère qui était retournée en mission hors du pays, Alex décida de renouer avec Gabriel et partit s'installer chez lui. Il petit possession de la chambre d'ami de la petite cabane en bois, aussi rustique que les stéréotypes sur les gardes forestiers pouvaient laisser espérer. Sur les murs trônaient quelques trophées de chasse – probablement des bêtes malades que son père avait dû abattre – et toutes sortes de bâtons, totems, attrapeurs de rêves et autre bidules amérindiens, probablement hérités de la famille paternelle de Gabriel, dont le père était Métis.
Le paternel dénicha à son fiston un boulot de laborantin biomédical au Memorial Hospital de Beacon Hills. Ça n'était pas l'emploi de rêve pour Alex, mais ça lui permettait au moins de prendre de l'expérience dans un domaine apparenté au sien. Il faisait quotidiennement son jogging matinal et, à peine quelques semaines après son arrivée, son père choisit de basculer sa vie.
Alex était pris d'une de ses fréquentes migraines, alors Gabriel descendit à la cave et remonta avec une poignée d'herbes qu'il ajouta à une bouilloire d'eau. Il fit boire l'infusion à son fils, qui se sentit immédiatement mieux et, en réponse à l'expression incrédule du jeune adulte, l'amena dans la cave, où une multitude de fioles et de jarres étaient soigneusement rangées.
"Habituellement, nous aurions dû avoir cette discussion il y a une dizaine d'années, mais les circonstances en ont voulu autrement."
"Tu sais que je veille aux espaces naturels qui me sont confiés..."
Gabriel prit un livre posé sur une table. Un nœud gaélique arborait la couverture de cuir. Il l'ouvrit à l'une des premières pages. Un dessin représentait des silhouettes hautes et encapuchonnées qui formaient un cercle autour d'un arbre immense, un chêne assurément, à la lueur de chandelles. Le titre de la page indiquait "Bestiaire druidique". Sous le titre, trois colonnes de noms trônaient, comme incomplètes, et Alex reconnût les deux derniers : il s'agissait de son père et de son aïeule. Le nom Cormier se répétait au-dessus, derrière plusieurs prénoms différents, expliquant pourquoi c'était par le nom maternel que son père avait été baptisé, puis son patronyme se transformait en une suite de lettres sans signification pour lui, Iliber, puis en un autre tout aussi étrange, et disparaissait éventuellement, laissant les premiers signataires orphelins de patronymes. Tous les plus anciens noms semblaient être écrits de la même main. Alors qu'Alex relevait la tête à la recherche d'une cape ou d'autres objets trahissant l'appartenance de son père à une secte, celui-ci poursuivit. La pause n'avait pas duré très longtemps et Alex n'avait donc pas eu le temps de perdre le fil conducteur.
"Tu auras compris que ce n'est pas qu'un travail, c'est une vocation et un devoir. Ton frère et toi êtes les héritiers d'une très ancienne famille de druides."
Il marqua une pause qui dura cette fois ci beaucoup plus longtemps, comme pour s'assurer qu'Alex assimilait doucement l'information.
"Il y a dans le monde des endroits puissants, qui attirent les créatures surnaturelles. Beacon Hills en fait partie."
S'ensuivit une longue explication qu'Alex écouta, incrédule.
"Notre raison d'être est de préserver cette harmonie de la nature, cet équilibre entre le naturel et le surnaturel. L'équivalent d'Un esprit sain dans un corps sain du Monde. C'est ce rôle de protecteur qui nous a valu notre nom, qui s'est lui-même transmis par nos pères et nos mères." Conclut-il.
Il ouvrit l'herbier qui se trouvait à côté du bestiaire, la première page y était similaire, puis il les tourna jusqu'à celle traitant du Sorbier. Alex lut la page et se souvint que le cormier en était une sous espèce.
"Papa, je ne crois pas à la magie..." Fit-il d'un ton las en retournant au rez-de-chaussée, pour s'enfermer dans la chambre d'amis.
Gabriel était manifestement convaincu qu'il suffisait de voir pour croire, aussi fit-il une surprise à Alex le mardi suivant. La journée à l'hôpital avait été particulièrement longue et les infirmières les plus âgées et les plus superstitieuses mirent cela sur le compte de la pleine lune, ce qui hérissa le dos du biochimiste d'un frisson. En arrivant dans la cabane du garde chasse, le jeune homme ne songeait qu'à prendre une bonne douche fraîche, mais ses plans tombèrent à l'eau lorsqu'il sursauta en voyant une jeune femme étendue sur la table de la cuisine.
"Papa?"
"C'est une Oméga, elle n'est pas de la région et s'est égarée. Je l'ai retrouvée inconsciente, le mollet dans un piège à ours. Il faut amorcer sa guérison."
Gabriel prit la main de la demoiselle et la repoussa vers l'arrière, sur son avant-bras, dans un craquement sinistre.
"Tu vas lui casser le poignet!" Hurla Alex alors que la jeune femme reprenait connaissance en hurlant également, ses yeux virant au doré, ses oreilles, ses ongles et ses dents s'allongeant. Son poignet craqua de nouveau alors qu'il se remettait en place et sa blessure à la jambe se referma tranquillement.
Alex s'était reculé rapidement, instinctivement, et avait trébuché contre une chaise. Lorsqu'il se releva, la louve-garou grognait en direction de son père, qui la regardait, impassible. Persuadé qu'il était sur le point de mourir, Alex attrapa un bâton qui était accroché sur le mur, et dont il apprit plus tard qu'il avait été sculpté par son grand-père, et s'apprêta à tenir la créature à distance d'un coup sur le museau. Gabriel attrapa le bâton au milieu de son mouvement.
"Ne la frappe pas! Elle est effrayée. Et repose-ça ou tu l'as pris!"
Gabriel semblait furieux de voir Alex s'attaquer la femme, particulièrement avec le bâton. Celle-ci était désormais recroquevillée sur la table, humaine et visiblement déboussolée. Gabriel la rassura et lui offrit de la raccompagner sur son territoire, mais elle refusa.
Lorsqu'elle repartit, Gabriel s'adressa à son fils d'une voix calme et froide, comme un orage à l'horizon. Il n'haussa pas le ton un instant, mais Alex comprit qu'il était furieux.
"Ne refais jamais ça! C'est en sorbier, tu n'as pas idée de ce que tu aurais pu lui faire! Nous devons préserver l'équilibre, être invisibles au courant global de la vie, à moins qu'il soit troublé."
"Les Garous sont généralement très territoriaux et ne laissent pas facilement d'autres créatures surnaturelles s'établir dans leurs terres. À ce niveau, ils aident à réguler l'équilibre à l'intérieur de leurs frontières. Nos gens ont une très longue et ancienne histoire d'entraide avec eux. Ce sont en général de bonnes personnes, mais il peut même arriver au meilleur d'entre eux d'attraper la rage. Dans ce cas, ils peuvent devenir une menace pour l'Harmonie et donc passer dans la liste de nos ennemis. Il nous faut alors faire ce que nous avons à faire pour maintenir l'Équilibre."
Les explications se poursuivirent, étalés sur les plusieurs jours qui suivirent, traitant de Némétons, du réveil de celui de Beacon Hills, dont Gabriel avait pu ressentir l'énergie, de clans Garous, d'essences végétales surnaturelles ou protectrices, bref le baba du parfait petit apprenti druide. Au cours des quelques mois qui suivirent, Alex s'habitua à sa nouvelle vocation et en apprit grandement, sous le secret le plus strict. Il avait lu à temps perdu diverses pages de l'herbier et du bestiaire, avait écouté les histoires de ses grands-parents et de quelques autres ancêtres et espérait bientôt pouvoir ajouter son nom sous à la suite des autres. Son père lui avait promis qu'il hériterait du bâton de son grand-père, à ce moment.
Depuis, Alex a eu l’occasion de renouer avec un ancien ennemi, Charlie Crowley, qui s’est révélé bien plus amical que dans ses souvenirs. Il est également devenu ami de nombreuses personnes de la ville, dont son célèbre voisin. Pour parvenir à boucler les fins de mois, s’est trouvé un second boulot au lycée, où il a rencontré Mafdet Mahes, son deuxième mentor. Aussi agréable que son paternel l’est, Alex ne sait toujours pas lequel de ces deux mentors il préfère. Lorsque Gabriel quitta Beacon Hills, Charlie emménagea dans la cabane au fond des bois, ce qui parvint à soulager le druide d’une partie des frais de location.
Devenant rapidement, à sa propre surprise, un druide compétent, Alex et deux amis décidèrent de fonder un petit groupe de protecteurs de la forêt entourant le Néméton. Divers problèmes se présentant à lui, et compte tenu de l’indisponibilité de ses alliés, Alex dut éventuellement se résigner à faire appel aux forces de l’ordre.
Malgré son manque d’affection pour le maître du poste de police, le druide se liera d’amitié avec deux des constables, et fêtera le nouvel an en leur compagnie, le jour où tout sera chamboulé. Alex dut taire ses sentiments naissants pour Brian O’Conner afin de s’occuper à plus préoccupant.
Il n’avait pas fallu trop longtemps avant que l’on ne réalise l’ampleur du désastre, et les colocs avaient rapidement invité Jenny à les rejoindre dans la cabane, lieu sécuritaire et suffisamment auto-suffisant pour passer quelques mois. Des mois de misères qui s’étiolaient dans une longue agonie. Alex était parvenu à dénicher quelques bouquins de nutrition à la bibliothèque abandonnée, afin de leur éviter de développer des carences d’un quelconque type. Entre la force brute de l’ours, désormais outé auprès de son ex, et les connaissances partagées par les deux autres, ils parvinrent à élargir le potager. Jenny leur apprit quelques trucs de coutures, mais aussi de menus travaux de réparations, Charlie récupérait un maximum de toutes denrées trouvées, et ils ne sortaient que rarement sans les autres. Le druide visitait parfois le manoir Hale, où le moral ne semblait guère mieux. Jenny insistait pour aider leurs concitoyens davantage dans le besoin qu’eux-mêmes et elle jouait fréquemment les infirmières volontaires, surtout auprès des enfants, à qui elle se chargeait principalement de raconter des histoires pour les rassurer.
Un jour où Alex et Charlie étaient occupés à aider à la construction de la seconde palissade, non sans craindre pour l’intégrité de la cabane, désormais sur la route empruntée par les travailleurs, Jenny était restée au lit, prise de fatigue. Au milieu de l’après-midi, Alex fut surpris par Charlie qui rugit le nom de leur colocataire. Avant même de voir son ami se transformer sous les yeux craintifs de leurs concitoyens, Alex comprit que quelque chose la mettait en danger. Charlie bondit hors du chantier, Alex sur les talons, mais loin d’être un surhomme, il dut rapidement se résoudre à supplier l’ours, haletant, de lui indiquer où le rejoindre.
Jenny avait été poignardée, en plein jour, pour quelques médicaments et pansement qu’elle avait sur elle, et d’autres babioles qu’elle destinait aux enfants. Les colocataires étaient hors d’eux et l’enterrèrent à proximité du Nemeton, loin du potager. Les escalades de violence avaient fini par les atteindre et ils n’étaient pas d’accord sur ce qui leur convenait de faire ensuite. Charlie voulait quitter la ville, mais Alex insistait qu’il n’était pas immunisé contre le virus. Charlie persistait à croire qu’ils connaitraient le même sort que Jenny s’ils restaient, et Alex disait que ce serait plutôt le cas s’ils partaient.
Un matin, un court mot attendait Alex sur la table. Charlie était parti avec Civet, avant qu’un villageois ne décide d’en faire un ragoût. Désespéré, Alex appela son ami, le supplia de rentrer, et tenta de voir si quelqu’un ne l’aurait vu partir. Ce soir-là, le druide pleura de longues heures lorsqu’il réalisa que l’ours têtu comme une mule ne reviendrait pas. Lorsqu’il se reprit en main, Alex refusa l’aide et l’hébergement offert par son voisin, prétextant qu’il ne voulait plus perdre qui que ce soit, et se reclut davantage sur lui-même. Son érémitisme en aurait fait jalouser d’envie son père, alors qu’il passait tous ses temps libres à étudier son grimoire et mélanger diverses plantes, lorsqu’il ne payait pas de longues visites au Nemeton. Il y méditait, ou tentait d’en extraire patiemment quelque essence.
Seul et las, Alex se sentait abandonné du monde et se refermait toujours davantage sur lui-même. Son amitié avec Brian avait été rompue lorsque celui-ci avait refusé de venir vivre avec eux. Derek lui avait bien offert le gîte, mais les murailles qui entouraient le manoir donnaient le vertige au druide. Puis, il y avait cette certitude qui croissait en lui : que rien n’arrivait pour rien, et que le Néméton l’investissait d’une mission. Il devrait bientôt plier bagage. Même la visite de Brian, qui tenait plus de la parodie que de la réconciliation, ne le dévia pas de sa trajectoire.
Quand, enfin, au bout de plusieurs longs mois, Alex crut avoir trouvé ce qui, du Nemeton, protégeait la ville, et s’être confectionné un espèce de vaccin à partir de celui-ci, le druide imita son ancien coloc et prépara ses bagages. Il barricada la cabane, avec l’espoir insensé d’y revenir et de la retrouver intacte, puis sortit de la ville. Il savait que les chances que sa famille soit toujours vivante étaient minces, et qu’il ne les retrouverait jamais car il risquait de mourir avant, mais il devait essayer de les retrouver. Eux ou bien Charlie. Il devait revenir et comme la colombe de Noé, prouver que le monde extérieur était de nouveau sécuritaire. Dans sa poche, Alex avait barbouillé une vieille carte routière des positions que ses séances de méditation avaient servies à identifier comme celles d’autres nœuds telluriques. Il espérait qu’en se dirigeant de l’un à l’autre, il parcourrait l’itinéraire le plus sécuritaire pour rejoindre le Nemeton auprès duquel Gabriel et Michael devraient se trouver. Et dès qu’il en aurait l’occasion, il mettrait son vaccin à l’épreuve. Il espérait tout de même davantage ne pas rencontrer de zombies et garder son invention intacte.
Alors que pour les observateurs de la dernière palissade, il n’était plus qu’une minuscule silhouette contre l’horizon, Alex sortit de son long mutisme pour répéter les derniers mots qu’il avait dits, de toute la force de ses poumons.
-Charlie! Je vais te retrouver!
Alex erra longtemps, apprenant à vivre par lui-même de ce que la nature avait à lui offrir dans l’immédiat. Il passait de camps de survivants à des villages qui tenaient par le fil du rasoir. C’est ainsi qu’il retrouva son frère, apprenant qu’il avait adopté une orpheline sauvée d’une horde par son père, mort en héros. Il trouva également la piste de Charlie, avant de remonter toujours plus au nord. Il comptait retrouver le 49e parallèle et, peut-être, trouver là des gens qui en sauraient plus.
Charlie retrouva éventuellement Alex, le sauvant d’une mort certaine, et ils parcoururent un long chemin ensemble. L’ours suivit le druide dans sa folle mission, grognant mais ne le remettant pas en question. Quelques années après leur départ de Beacon Hills, ils se séparèrent à nouveau, et certainement pour de bon. Les Némétons rapprochaient désormais Alex de la Californie et, après avoir vu les horreurs du monde extérieur, il semblait enfin prêt à y retourner et s’y cloîtrer à jamais.
Who I Am
Âge : 39 ans Métier : Druide, chercheur/soigneur, maraîcher, nouvellement père Langues parlées : Anglais, néméton Nationalité : Citoyen officiel de Beacon Hills 3 adjectifs pour me décrire : Ermite, méfiant, dévoué Avatar : Max Riemelt
Je suis un / une survivant humain
Je suis aussi actif dans : Dans le passé avec une histoire différente Dans le présent avec une déclinaison différente
L'Univers...
Les Brumes du futur : 2030
Behind
Vous pouvez m'appeler Gilvert et j'ai 35 ans. J'ai connu le forum par Charlie. Si tu as lu le règlement quel est le mot à donner pour que ta fiche soit validée ?