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 Alessandro Amaro - Patron du Saloon

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Alessandro Amaro

Alessandro Amaro


Brumes du Passé : Loup Oméga
Meute & Clan : Aucun
Âge du personnage : 31 ans

Meute & Clan : Amaro Organizzazione
Âge du personnage : 32 ans

Brumes du futur : Loup Alpha
Meute & Clan : Corleone Organizzazione
Âge du personnage : 41 ans

Alias : Le Sicilien - La Rafale à voyelles
Humeur : Dangereusement votre
Messages : 1983
Réputation : 509
Localisation : Au Pink Print

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MessageSujet: Alessandro Amaro - Patron du Saloon   Alessandro Amaro - Patron du Saloon EmptyMer 13 Déc 2023 - 21:44




“ Alessandro Amaro  ”

Les PNJ qui m'entourent, vivants ou morts
Parents : Guiseppe Amaro et Maria Amaro.
Fratrie & famille : Matteo Amaro (frère présumé mort), Graziella Amaro (sœur morte).
Connaissances : Xander Cormier, Tobias Rapier, Derek Hale, Dick Turner, (clients du saloon).
Amitiés : Andy Turing (ex employée).
Ennemis : La police d’un état de l’Est. Les chasseurs de primes.
Employés / Employeur : Il est son propre patron (Saloon). Barney Cooper, employé du saloon. Rebecca et Maggie entraîneuses au saloon.
Amours (passés, présents, secrets) : Amance Hautcœur.
Autres : Dean, un bandit, qui a deux chasseurs de primes à ses trousses, sa prime dépasse les trois mille dollars : trois meurtres et des bricoles…)

Possessions
Moyen de transport : un cheval, un chariot, ses bottes.
Type d'habitation : Propriétaire du Saloon, loge dans une cabane dans la cour arrière du Saloon.
Animaux utiles : un chien qui garde le stock d’alcool du saloon
Niveau de vie : intermédiaire.

Histoire
J’ai débarqué à New York à l’âge de huit ans avec la moitié de mon village d’origine au fin fond de la Sicile où nous crevions de faim. Le prix de notre trajet payé avec nos vies : vingt ans de labeur pour le compte du Parrain qui nous avait pris sous son aile. La langue commune a fini de resserrer les liens de la communauté italienne fraîchement immigrée dans ce pays qui apparaissait comme un eldorado. Les étés sont étouffants à New, rien à voir avec la chaleur sèche de notre pays, mais nous supportions mieux que les Anglais. Par contre les hivers… Aucun Sicilien n’était préparé à cela, la neige en pleine ville, des températures à geler l’Hudson. Ma jeune sœur fut emportée au premier hiver d’une mauvaise pneumonie.

La communauté solidaire nous permit de survivre, mon père tenait une épicerie de produits du pays. Rien ne lui appartenait en vrai, il était prête-nom pour le Parrain. Et même s’il possédait un acte de propriété pour le petit local qui se situait dans le quartier de la petite Italie, il payait un « loyer » au parrain. Gamin avec mon frère on traînait souvent vers les Docks à la rechercher d’une quelconque marchandise à voler, où nous fréquentions aussi la bande de Français qui comme nous suffisaient la pression des anglophones. J’ai acquis un français rudimentaire de ces années de jeunesse.

À l’adolescence et contre l’avis de mon padre, j’ai rejoint le service d’ordre du Parrain qui nous avait « offert » le voyage depuis la Sicile. J’y ai vu un moyen de me faire de l’oseille rapidement. Ce fut le cas jusqu’à ce que ma tête soit trop connue de la police. Commence lors, une vie d’itinérance. Un mode qui ne permet pas de gagner sa vie honnêtement. J’ai loué mes services de gâchette adroite çà et là, jusqu’au jour où je croise une créature étrange quelques parts en Virginie-Occidentale, non loin d’une hutte de trappeurs où je me planquais. Depuis, je n’ai pas seulement des chasseurs de primes qui me recherchent, mais aussi d’autres chasseurs, français pour la plupart qui parlent d’une malédiction issue du Gévaudan. Une bête, un monstre à l’origine de ce que je suis devenu après une morsure. Ceux qui savaient ce que j’étais devenu n’avaient nulle explication à me donner, seulement des balles en argent. Je dois à Cormier et ses séances de méditation des années plus tard le contrôle de cette rage qui naît parfois en moi, le plus souvent quand la lune est ronde.

L’étau de mes poursuivants se resserrant, je décidais de filer à l’Ouest en tirant droit au Sud pour tromper l’ennemi. Mon errance me fit partager le campement d’un brave type, un vendeur itinérant qui possédait un molosse pour assurer sa sécurité. Étrangement, le chien ne me rejeta pas comme le reste de ses congénères qui voient en moi le loup, l’ennemi héréditaire. Je quittais l’homme au matin d’un salut amical. Je fis demi-tour deux heures plus tard pour le trucider : un groupe de chasseur de primes rôdait dans les parages. Ils auraient tôt fait de le croiser et lui montrer mon portait surmonté d’une beau « Wanted ». Son chien garde maintenant la réserve d’alcool du Saloon.

J’ai mis six ans pour rejoindre la côte ouest. J’ai fait profil bas, travaillé au Canada où ma force fut appréciée dans les scieries. C’est avec assez d’argent en banque et non planqué au fond d’une sacoche que j’ai investi dans cette bourgade en devenir qu’est Beacon Hills. J’ai ouvert le saloon quand ce bled comptait une cinquantaine de personnes. La population a dû quadrupler depuis.

La demande se faisant, j’ai installé des piaules à l’étage du saloon, débarrassant le plancher pour m’installer dans la remise à l’arrière du Saloon. Trouver des filles fut aisé. Andy, Rebecca et Maggie sont là pour satisfaire le client et l’inciter à boire. Le destin se fait farceur parfois, je crois avoir connu pour la première fois un vrai amour pour une femme, une Française, qui venait arracher son notaire de mari des bras d’une de mes entraîneuses. J’ai cru pouvoir l’arracher des griffes de cet époux jaloux et violent, mais une femme comme elle n’est pas faite pour un homme comme moi. Rattrapé par des magouilles, le notaire a plié bagage emportant avec lui sa ravissante femme.

Andy a démissionné depuis peu, elle tente sa chance au Ranch Hale comme nourrice. Des rumeurs commencent à circuler sur les motivations de Hale à son sujet. C’est un gars droit dans ses bottes, un surnaturel comme elle. C’est tout le mal que je lui souhaite.

Je commerce parfois avec Xander. Il me vend son alcool ; je lui trouve ce qu’il a besoin et qu’il est difficile de trouver au magasin central ou à des prix qu’il ne peut pas se permettre.


Who I Am

Âge : 31 ans
Métier : Gère un saloon
Langues parlées : Italien, Anglais, Français
Nationalité : Américain
3 adjectifs pour me décrire : orgueilleux, entreprenant, sanguin
Avatar : Ryan Cooper

Je suis un Loup Garou


Je suis aussi actif dans :
Dans le présent avec une déclinaison différente
Dans le futur dans une déclinaison différente

L'Univers...


Les Brumes du passé : 1850

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Vous pouvez m'appeler Aless et j'ai X ans. J'ai connu le forum par Je suis le fondateur du forum. Si tu as lu le règlement quel est le mot à donner pour que ta fiche soit validée ?

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