[Event] Monopoly's Party | Pink Print

Équipe : Les télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Troisième maison

Info flash: le dé à survécu contrairement à son prédécesseur suite à la coopération de celui ci. Bon, pas de quoi faire un fromage. Mais c'est sympa de souligner que je ne suis pas un dangereux individu tueur d'objet carré. Nous quittâmes rapidement le poste de police pour le pink print.

J'aime bien y aller dans ce bar malgré l'ambiance électrisante de celui ci. On y fait de multiples rencontres les plus intéressantes les unes que les autres. On peut y trouver plein de sorte de personnes. Différents sur leurs catégories sociales à leurs orientations sexuelles. C'est agréable de varier la discussion et de satisfaire ma curiosité débordante. Nous saluons le videur, toujours le même, et entrons à l'intérieur. Allez, partons à la recherche du dé. Et entre temps, profitons en pour s'amuser un peu et décompresser de cette rude journée.

Que le videur et les barmans essayent donc de m'extirper de là et je leur plante un crayon bois dans un œil. Parce que j'avais vraiment pas prévu qu'un mec ait un ego si froissable. Je lui ai juste demander de me lâcher puis de dégager le passage avec son déambulateur et ce vieux de 35 ans m'a répondu d'une main trop proche de mon entrejambe et une claque sur l'arrière train. Le pire dans tout ça, c'est qu'évidement, j'ai envenimer la situation en l'insultant et lui offrant de belles phrases sarcastiques de mon cru et un bon coup de poing. C'est en voyant dangereusement s'approcher de moi pour décorer la salle de mes entrailles après m'avoir violer sur place que j'ai eu l'idée d'initier un repli stratégique.

Ça se résume en peu de chose: "ta gueule et cours !". Assez simple à retenir. Cependant, dans ma précipitation de semer le pervers sanguinaire, je n'ai pas vu un gars imitant terminator devant moi et je l'ai embarquer avec moi dans sa chute. Sauf que cet idiot planté au milieu de mon chemin avait un pot de peinture dans les mains. De toute évidence, mon karma est pourri puisque ce plateau s'est écraser sur mon crâne, me laissant profiter à loisir de regarder un liquide coloré et poisseux couler sur les cheveux.

Ça ne loupe pas. Profitant de ma misérable situation, l'homme en furie me choppe par le col pour me refaire le portrait façon Picasso. Même si je doute sérieusement qu'il connaisse le peintre. Avec un si petit cerveau je suis étonné qu'il ne parle pas l'homme des cavernes. Il en a le style en tout cas.  Vu le silence qu'il règne autour de moi, je crois bien avoir sorti cela à voix haute. Pas grave, un sourire provocateur, un objet reconverti en arme et le tour est joué. Sauf que je ne pense pas qu'une banale serviette en papier puisse me sauver. Peut être en la lui enfonçant dans le gosier ? Je serai K.O bien avant en constatant la taille de ses bras. Ils font le double de mes cuisses ! 

… Je peux m'estimer heureux. J'ai réussi à sortir de cette baston vivant et il semblerait entier. J'ai une épaule déboîte, ma lèvre en sang, un coquard à l’œil, une vive douleur à la mâchoire et je pense quelques côtes fêlées ou cassées. Rien de bien méchant ici, quoi. Je guérirais tout cela en un clin d’œil avec mes pouvoirs lycanthrope. Je béni en tout cas pendant une minute Caracole de m'avoir aider avant que je ne transforme le mec en de la charpie avec mes griffes. Par contre ma fierté en a pris un coup. Pas pour les blessures, ça je suis habitué mais plutôt pour les boissons bling-bling qui dégouline toujours sur mes cheveux et maintenant sur mon cou et mon visage. Je dois être splendide à voir comme ça....

C'est la dernière fois que je viens dans ce bar si je suis à deux doigts de faire une crise de colère. Bon, qu'on se le dise, la bagarre a permis à Caracole de se faufiler derrière le comptoir pour aller choper le dé qui s'y trouvait. J'espère que ça en valait le coup.

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : 3^e maison
 
Et voilà, nous revoilà, dans le bar qui nous est interdit. Oui, nous sommes mineurs, mais pour le bien du jeu on peut y entrer. Même en profiter. Et au pire, on a une fausse carte d’identité, ça fait office de passe partout.
 
Je crois que je devrais laisser le dé à Liam, il arrive toujours à avoir ce qu’il désire. A moins que cela ne soit que moi… Bon tant pis, passons.
 
Je marche au côté de Liam et nous arrivons assez vite là où le dé nous réclame.
 
Nous sommes devant la porte du bar, on passe devant le videur, habitué à nous voir entrer, il nous laisse y aller sans réfléchir. Avec mes yeux jaunes, j’ai réussi à lui faire peur. Je me demande s’il pense que je suis malade ou pas. Car pour être franc, je ne fais pas les vingt-et-un ans assuré par la carte… Je ne le serais sûrement jamais.
 
Je n’aime pas cet endroit, tout le monde s’agglutine à côté de Liam. Je n’aime pas cela.
 
Une fois à l’intérieur, nous cherchons le dé, Liam en profite pour se faire de nouvelle connaissance. Il parle avec du monde et j’en profite pour le regarder plus longuement. Il est beau. Séduisant. J’écoute certaine discussion autour de moi. J’essaie de comprendre ce qu’ils disent. J’extrapole avec ce que je pense de Liam… J’écoute aussi un groupe de fille. Elles gloussent et parlent de garçon… Elles sont amoureuses qu’elles disent…
 
Ressentis-je la même chose pour Liam ? Non… Enfin je crois…
 
Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps. Liam a des ennuis. Je sens une haine monter en moi. Liam se débat contre le mastodonte, fuit loin de lui mais une andouille le gène. Liam est trempé des pieds à la tête. Il va puer l’alcool.
 
L’homme est sur lui. Il soulève mon ami. Je vois rouge. Je m’approche d’eux, me cache derrière l’homme et lui tape la cheville.
 
— Lâche-le !
 
Il rigole. Je n’appuis pas assez pour lui faire peur. Je remonte mon pied et tape derrière le genou. L’homme se baisse sous la force. Il lâche Liam.
 
— On ne touche pas à mes amis. Interdit.
 
Je m’éloigne. Liam se venge du mec se bat. Il use de ses dons, et j’en profite pour aller chercher le dé. Je l’ai trouvé derrière le bar. Je le montre à Liam, vais le chercher pour le soutenir. Même en étant un loup, ça va mettre quelques minutes pour s’arranger.
 
On sort du bar pour se retrouver dans la rue. Je ne lâche pas le dé pour l’instant, pensant qu’à mon ami. Je dois le mettre en lieu sûr pour que personne ne le voie récupérer en quelques secondes… Il faut cacher nos dons et s’entraider. On est tous les deux des loups mordu par un alpha… Je me demande même si on a été mordu dans le même mois…
 
Je souris à l’idée. Une fois que Liam a bien récupérer, je lance le dé, le menace de l’offrir à Liam s’il ne nous envoie pas au lac ou au vestiaire…
 

Équipe : Bribri et Gros Minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : RP libre

Le Pink Print. La pioche serait bonne si nous avions quatre maisons au poste de police… Ce qui est loin d’être le cas…

Nous reprenons la moto de Mafdet pour nous y rendre. Cela m’ennuie de devoir compter sur elle pour nos déplacements, mais je dois avouer que même en respectant les limitations de vitesse, nous sommes plus rapide à deux roues qu’à quatre.

La serveuse commence à nous connaitre et s’informe de notre avancée dans le jeu. Nous commandons nos consommations et allons nous installer à « notre » table.

- Ce jeu commence à me fatiguer...

Équipe : Bribri et Gros minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Rp Libreuhh

Apres la bibliothèque nous voilà au Pink Print. Encore un tour inutile ! Je rage et je grogne. Nous sortons du lycée chacun rasant un des meurs du couloir faisant fi des élèvent qui fouillent leur casier.

Je commence à en avoir assez de me faire balader par un stupide jeu. Je ne l’avouerai jamais, mais je regrette de m’être lancé là-dedans. Ce n’est plus un jeu mais une contrainte.

Le sourire aimable de la serveuse du Pink Print me calme un peu. Surtout qu’elle s’enquière de notre avancée et compatit à nos tours pour rien. Brian s’est enfermé dans un mutisme complet. Il boit son soda en regardant par-dessus mon épaule.

- Ce jeu commence à me fatiguer...

- A moi aussi… mais rien que pour mettre la pâté aux petits jeunes qui se sont inscris juste avant nous, j’ai envie de continuer !

Équipe : Les télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Quatrième maison

Après avoir courageusement abandonner tout le monde dans la bibliothèque, je regrette de ne pas pu avoir embarquer dans notre aventure le petit Gizmo. Il aurait été trop mignon dans ma chambre. Bon, j'aurai juste eu à éviter de le mettre au soleil mais en tant que créature de la nuit, ça peut le faire. J'aurai eu au moins une compagnie pendant la pleine lune.

Au moins, il a accepter de nous accompagner jusqu'au bar. Le protégeant du soleil, nous partons dans cette direction. Je vais pouvoir lui faire plein de câlin à cette adorable boule de poil. Bon, que personne ne le dise, hein. C'est un petit secret bien gardé que j'ai les choses pelucheuses. La honte que je me taperai si ça se sait. Déjà qu'on se moque de moi pour ma tenue de pompom girl, je ne vais pas en plus leur donner plus de munitions.

Nous saluons le videur et entrons dans cette pièce électrisante. Comme d'habitude, il y a plein de monde. C'est agréable de voir tant de visage mais aussi étouffant de sentir autant de phéromone dans un seul lieu. A croire que c'est le truc à faire ici, draguer le plus de personne possible en tentant de les noyer sous un brouillard d'hormones.

Je commande un verre pour nous trois et sort la petite boule de poil hors de sa cachette. On va profiter un peu pour se détendre avant de partir à la recherche du dé. Et non, ce n'est pas pour m'approprier plus longtemps Gizmo que je fais ça. C'est parce que.... Arg ! D'accord, vous avez raison. Je fais ça juste pour chouchouter un bon moment le petit gremlin. Mais c'est pas de ma faute s'il est trop chou avec sa petite bouille. Je fond en le voyant et mon coeur fait des loopings.

Mince, j'en deviens gaga. Et Caracole, par contre, a plutôt envie de réduire en cendre mon nouvel ami. Si ses yeux tiraient des balles, Gizmo serait déjà fusillé sur le champs. Je ne comprends pas cette réaction. C'est pas comme si je venais de lui voler sa petite amie devant ses yeux et lui offrait le plus grand baiser de sa vie. Pour le dérider, je demande au serveur s'il n'y a pas une petite animation bientôt.

Celui ci, dans un sourire parfait, me réponds qu'il y a une petite loterie où le prix est de danser sur le podium en face de tout le monde. Oh oh ! Mes pupilles pétillent de malice et mon sourire se fait plus espiègle. Je sens qu'on va bien se marrer. Je nous y inscrit juste pour le fun et attends le tirage au sort. Je vois bien le pauvre louveteau tout timide sur la scène. Ca serait dès plus drôle.

Lorsque le tirage au sort est fait, un homme invite le dénommé Caracole à venir réclamer son prix. Je voyant refuser, je le pousse en riant jusqu'au podium. Allez champion, montre tout ce que tu as ! Le voir rougir de gêne et tenter de s'enfuir de là me faire rire à gorge déployé. Bon sang, que c'est tordant de le voir dans cette situation. C'est à s'en tordre de rire. Le timide et presque invisible Cara, fixé par toutes ses paires de yeux, prêt à le dévorer du regard. N'y tenant plus, je me tient au bar, riant jusqu'à m'étouffer.

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : 4^e maison
 
Nous abandonnons, en courant la bibliothèque. La folie ambiante ne me plait mais alors pas du tout. Impossible de rester ici, et le mec est auteur, il sera se débrouiller tout seul. Il est grand et pas nous. Dehors, Liam capture un des monstres qu’on a relâché. Un truc poilu qu’il garde dans sa poche. Pourquoi il fait cela avec lui et pas avec moi. Je boude.
 
Liam lance le dé et il nous envoie au Bar. Bon, je commence à en avoir marre de ce bar, on me vole mon Liam. En plus, là, il tripote une chose bizarre et pas moi. Je suis jaloux. Il complimente la chose et pas moi. Pourquoi je n’ai le droit qu’à des méchancetés à cause du dé. Pourtant je l’aide, sans moi, il n’aurait pas pu jouer au jeu.
 
Boudant, j’avance vers le bar, on salue le videur, habitué à nous voir faire des allers-retours. Entre, sortir. On ne fait que cela, parfois on reste longtemps sur place, mais c’est à cause du dé.
 
On entre à l’intérieur. Toujours la même chose. Des gens qui dansent, se touche, se tripote et tout. Et moi je reste là, à côté du bar. Liam commande trois verres d’eaux. Dont un pour la créature maléfique. Je ne bois pas le verre.
 
J’aimerais bien me retrouver à la place de la chose, en gardant tout de même ma taille. Je regarde la créature avec dureté. Pourquoi suis-je ainsi. Il a rien fait le monstre bizarre. PFF, j’suis bizarre quand je suis proche de Liam. Je ressens des trucs que je ne connais pas. Quand j’entends les filles parler de leur béguin, j’ai l’impression de ressentir la même chose qu’elle. Pourquoi ? Je suis perdu.
 
Liam parle avec le serveur. Il lui demande ce qu’il va se produire sur scène. Pourquoi fait-il cela ? Je suis perdu.
 
Je regarde devant moi. Il y a un truc sur scène. Je n’aime pas cela. Avec Liam ça se termine toujours mal. Surtout quand cela me concerne. Je dois me venger. C’est obligé…
 
Liam s’éloigne quelques secondes, je regarde la créature et lui souris. Oui, beb, elle est pour rien là-dedans, c’est la faute à Liam si je suis comme cela. Je la caresse un peu et commence à comprendre pourquoi Liam l’aime bien. Puis il revient, un sourire aux lèvres. M’a-t-il vu chouchouter la bébête. Ou il sente autre chose.
 
Soudain, je comprends pourquoi Liam me souriait.
 
Un homme m’appelle pour que je monte sur scène. Je le regarde suppliant. Pourquoi il me fait cela ? Je ne lui ai rien fais… Je regarde partout autour de moi. Les gens disent mon nom pour m’encourager, mais j’ai plus peur qu’autre chose. Je me sens mal à l’aise. J’ai le cœur qui bat fortement. Je transpire comme un fou. Je tremble même. Que m’arrive-t-il, je n’ai jamais subis cela.
 
On me force à monter sur scène. Que dois-je faire ? Danser ? Non, impossible. Je ne sais pas danser. Quelqu’un peut m’aider ? Je regarde à droite à gauche. Me sens encore plus mal, je monte sur scène, transpire comme un fou et commence à danser.
 
La salle tourne dans tous les sens, je suis perdu. Affolé, je bouge sans réfléchir. Je fais des pas mal assuré. Au vu de l’horreur, le gérant me fait descendre et m’offre le dé. Je pars en courant loin de tout cela sans réfléchir. Je sors dehors et laisse le dé tomber. Je me fous de là où on va devoir aller.
 
Je l’ai vu, Liam s’est moqué de moi. Pourquoi… Je me mets en boule, affolé par la situation et attends.
 

Équipe : Bribri et Gros Minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition :  L’hôtel, le dernier enfin !

Mafdet me saute dessus. L’entraineur me regarde avec ses yeux globuleux. Je n’ai pas du tout ça, mais pas du tout. Puis je comprends ce qui met ma partenaire de jeu si en joie : nous approchons enfin du but final !

Nous décidons d’y aller chacun avec notre moyen de locomotion, puisque après cela sera la fin du jeu et de notre collaboration.

Le Pinck Pint est bondé. Nous sommes obligé de jouer des coudes pour accéder jusqu’au bar et faire notre commande. La serveuse est ravie d’apprendre que nous sommes presque à la fin de notre quête. J’aperçois Jansen de loin. Mais il y a trop de monde pour qu’il me voit.

Mafdet est obligé de parler fort pour m’indiquer une table heute où nous caler. Je passe devant pour lui ouvrir un passage. Ce n’est pas facile avec cette foule. Les gens se pressent les uns aux l’autres. Puis je comprends, c’est la happy hour. Les boissons sont moins chères pendant encore une bonne heure. Je tourne la tête pour le dire à Mafdet quand je me fais télescoper par un jeune homme.  La moitié de ma bière atterrit sur son blouson. Je murmure une excuse, puis tente de naviguer jusqu’à la place qui va finir par se faire prendre.

Le jeune pourtant en tort puisqu’il m’a carrément foncé dessus ne l’entend pas de cette oreille. Son air snob et hautain m’horripile déjà…

Équipe : Bribri et Gros minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Hôtel !!!!! Finiii !

Quand je vois le résultat que nous annonce le dé, j’enjambe les tribunes et saute sur le dos de Brian. Je tire la langue à Finstock qui nous regarde comme si nous étions fous. Brian comprend vite le pourquoi de ma réaction et nous courons presque pour rejoindre le parking du lycée, moi ma moto, Brain sa voiture.

Je dois l’attendre devant le Pink Print, car il y a foule et qu’il n’y a pas de place pour sa voiture à moins de deux pâtés de maisons. Il faut presque nager pour arriver jusqu’au bar. Je devance la serveuse pour lui dire qu’on termine enfin ce jeu ici et que je souhaite le plus colorée de ses cocktails. Brian reste raisonnable et commande une bière.

Avec nos boissons, je demande une assiette de charcuterie. Tout cela m’a donné faim Puis je montre à Brian une des rares tables de libres. Il passe devant et comme un brise-glace, il m’ouvre la voie. La marée humaine se ressoude dans mon dos.

Brian se retourne pour me dire quelque chose quand il se fait percuter par un de mes élèves ! Therence Garnet ! Brian s’excuse, mais l’arrogant adolescent lui bloque le chemin en en faisant des tonnes sur son blouson de cuir taché. Je vois gros comme une maison qu’on va rater la table de libre à cause de ce chieur ! Je me faufile entre les deux hommes et toise mon élève.

- C’est 19 ans l’âge requis pour consommer de l’alcool et entrer dans cet établissement aux programmes un peu chaud.

- Mon blouson va être foutu !

- On a un look de loubar ou pas jeune homme ! Vous avez pensez à faire votre devoir de chimie pour demain évidement ?

L’argument est bas mais si facile…. L’autre bougonne, je l’envoie paitre et invite Brian à attraper cette foutue table libre.

Nous nous installons et savourons enfin la fin de ce maudit jeu. Je lève mon verre et trinque avec Brian.

Chuck ! On a réussi !

Équipe : Les télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Dernier hôtel dont on a bavé à obtenir

Bon sang de bon soir ! Que dis-je, Oh mon dieu !! Ou encore mieux, par les oreilles de Boudha et le caleçon à pois de Merlin ! Oui, je sais, je suis à deux doigts de parler vulgairement juste pour exprimer une joie indescriptible. Après s'être acharné sur le poste de police, détruit la tanière de la pâle copie de Charlie, avoir traversé des péripéties improbables, nous voilà enfin à notre toute dernière destination.

J'espère franchement qu'elle vaut le coup. Il y a à l'intérieur un petit malin qui n'a vraiment pas envie qu'on le rencontre. Pas grave. Le sort en à décidé autrement et s'est enfin montré clément avec nous. Tout joyeux, je laisse agoniser sans honte le nounours dans un recoin, se vidant tranquillement de son sang. Pikachu l'a assassiné suite à cette glorieuse nouvelle.

Sans plus attendre, j'abandonne mes pots de glaces vides et tire Caracole derrière moi, courant à vive allure jusqu'au bar tant attendu. Devant le videur, je m'autorise une petite danse de la joie à ma façon. Juste parce que je suis super heureux que ça se termine. J'ai cru devoir y perdre pas mal de neurones dans cette course rocambolesque.

Entrant enfin à l'intérieur, je me rue sur le bar pour passer commande. Il faut fêter ça dignement avec un bon verre. Après que la commande soit passé, je prends les boissons avec moi vu que les mains de Caracole sont occupés à tenir son pikachu afin qu'il ne se fasse pas écraser par la foule compacte.

Se faufilant vers une table libre ou un coin avec peu de monde, je pousse un peu les gens en m'excusant et refuse d'un sourire contrit les propositions de danse. Néanmoins, un mec n'ayant pas l'air de comprendre le mot non, agrippe le poignet et me tire vers lui. Je me défait de sa poigne avec un peu trop de force que j'avais initialement prévu et renverse le contenu de mes boissons sur la personne juste à coté de cet enquiquineur et moi.

Je lève mes yeux sur la pauvre personne trempé ou tout du moins avec une tâche humide sur sa veste et reconnais d'office cette personne. Oups... J'ai gaffé, et du bon cette fois ci. Therence, le caid du lycée, me fusille du regard, une aura noir l'entourant. Ah ! Je savais bien que lui et moi, à coté d'une source d'eau ne ferait pas bon ménage ! La preuve en direct.

Je n'arrive pas à m'empêcher de ricaner devant cette situation burlesque. Me rembarrant par ses remarques acides, je lui fait remarquer que ce n'est pas avec un peu d'eau qu'il va périr. Il a connu pire. Puis au moins, ça lui donne une bonne excuse pour aller se faire consoler par un wendigo bien connu.

Puis après tout, il n'avait pas qu'à se positionner à ma portée. Avant qu'il ne me démembre verbalement ou use de pénectomie à mon encontre, j'entame une retraite stratégique vers le comptoir pour commander de nouvelle boisson. J'ai pas envie de devenir eunuque juste pour avoir taché la célèbre veste du très illustre Garnet. Même si sur le coup, c'était assez drôle.

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : dernier hôtel ; Enfin la fin.
 
Je lance le dé et tombe sur le bon endroit. Le dernier hôtel pour finir ce jeu. Après les lancées inutiles d’avant, on va enfin pouvoir le finir. Ce n’est pas trop tôt. Je n’ai pas le temps de montrer ma joie que déjà, je me fais tirer par un Liam fou de joie. Je tiens toujours mon Pikachu, qui bientôt n’existera plus. Il suffit de gagner l’hôtel pour cela.
 
On laisse ce qu’il reste du cadavre de Charlie dans une ruelle sombre. Celui qui veut sa peau pourra la prendre sans réfléchir. J’espère que personne ne se fera prendre…
 
Après l’enterrement à la va vite, Liam me traine dans le bar et s’arrête devant le videur. Il fait une mignonne petite dance. Je souris à la vue. Qu'il est beau. Je suis content d’être tombé sous son charme. Car oui, je dois me mettre à l’esprit que je suis amoureux du superbe et possessif Liam.
 
On entre dans le bar. Là, Liam me laisse et fonce vers le bar pour commander des boissons. On fête cela dignement. Je souris à Liam, le regarde quand les gens me laissent l’apercevoir. Il passe commande et retourne me voir. Il ne se laisse pas faire comme les dernières fois mais Therence pense autrement. Il veut sa danse. Je me lève, prêt à l’attaquer s’il ose lui faire du mal. Là Liam rigole. Il a versé de l’alcool sur la veste de Therence. Liam sourit sous les méchancetés de Therence. Il envenime même les choses. Puis il s’en va. Il retourne chercher les verres. Je m’approche de lui content et lui souris. Mon pokemon a disparu. Le dernier hôtel est à nous.
 
Je prends mon verre et bois une gorgé tout en tirant une grimace. L’alcool est toujours aussi dégelasse. Je trinque avec mon ami, heureux.
 
— C’est pas trop tôt, santé Liam.