[Event] Monopoly's Party | Lac

Équipe :Les Sailor Moon
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Première

J'approchais du lac, comme a mon habitude j'étais près de celui-ci. Je ne savais pas trop si je pouvais me baigner ou non, j'allais voir cela.Une fois plus près, j’apercevais des personnes avec des canots.*Eh bien ils ont traversé ce lac en canot, je me demandais pourquoi.* Mais je remarquais soudainement qu'il y avait une fille, qui semblait être seule et avoir besoin d'aide. Je me demandais de quoi elle avait besoin, alors je m'approchais pour aller l'aider. Oui j'aimais plutôt être seul mais quand que je voyais, des personnes qui semblaient avoir besoin d'aide, je n'hésitais pas à aller vers eux.

Une fois aux côtés de la jeune fille, je la regardais droit dans les yeux. Pour ensuite lui sourire et m'appuyer sûr l'arbre qu'il y avait a côté de nous. Mes yeux se posaient ensuite sur se lac immense. Je me demandais déjà si elle avait senti que je n'étais pas un humain. Pour elle je ne savais pas encore. J'observais brièvement les autres, c'était sûrement un activité du lycée, ou un truc comme cela. J'aimais beaucoup ces activités, seulement je n'étais pas aller au lycée, car j'étais trop occupé, a faire autre chose.

-On a besoin de moi jeune fille...?

Je la regardais droit dans les yeux, je me demandais ce qu'elle allait me dire. Ha ces jeunes qui avaient le don, de se mettre les pieds dans les plats. Mais bon moi aussi j'étais jeune et cela m'arrivait souvent aussi. J'aurais bien aimé essayer l'un de ces canoës, je n'avais vraiment pas peur de l'eau.

Équipe : Bribri et Gros minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : L’hôtel héhéhéhé !

Je hurle presque ma joie… enfin si je hurle. Ce qui me vaut de me faire traiter de fofolle (*) par la bibliothécaire ! Brian m’entraine dehors en riant. Il n’a rien dit mais je vois bien à ses yeux qu’il est ravi.

Je sens les bars de Brian me serrer fortement la taille. Il faut dire que j’ai mis les gaz et fille comme une étoile filante vers le lac. C’est avec impatience que nous mettons pied à terre et nous dirigeons vers les berges. Mais il n’y a rien de spécial sur la plage du lac. Alors nous marchons sans but jusqu’à nous installer sur des pierres plate qui bordent le lac.

Le soleil nous chauffe agréablement. Nous jouons pour l’hôtel, alors je me fais patiente. Je m’allonge sur le dos et somnole un peu. Brian fait des ricochets sur la surface du lac.

J’ai dû m’endormir, car une voix de crécelle me réveille. Et s’il y a bien une chose dont j’ai une sainte horreur, c’est de me faire réveiller ainsi.

En ouvrant les yeux, je vois que la surface du lac est agitée. Des choses semblent nager en limite de surface. Je me redresse sur les coudes et aperçois la tête d’une de ces chieuses de la méditerranée. Que font les sirènes si loin de chez elle et surtout dans de l’eau douce ? Leur chant est aussi disgracieux que celui d’un crapaud ! Je me demande qui peut tomber sous leur charme !

… Brian…

- Brian ! Bouche-toi les oreilles !

Trop tard…

(*) : Clin d’œil au Caniche Infernal ♥

Équipe : Bribri et Gros Minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : L’hôtel  

Mafdet pousse un rugissement quand elle voit le résultat du lacer de dé qu’elle vient de faire. Destination le lac avec un hôtel à la clé. Je l’entraine hors de la bibliothèque avant que nous nous fassions renvoyer comme les perturbateurs que nous sommes.

Sur le chemin qui nous mène au lac, je suis obligé de me cramponner à sa taille, tellement elle prend les virages serrés. Je ne proteste pas, je suis content de cette donne. Si ensuite nous pouvions tomber sur le manoir, on réitérait notre premier coup d’éclat en raflant l’hôtel du vestiaire et celui de la bibliothèque à la suite l’un de l’autre.

Mafdet sautille presque lorsque nous nous approchons du lac qui est d’un calme plat. Ul n’y a pas de vent et le soleil chauffe bien. La surface est comme un miroir. Nous marchons un peu sur les berges avant de nous arrêter. La femme-chat s’allonge sur une pierre et semble bien partie pour une petite sieste de chat.

Je m’occupe discrétement en tentant de faire un maximum de ricochet avecde petites pierres plates quand un chant mélodieux me fait fixer la surface du lac. Une magnifique femme sort la tête de l’eau, puis une autre. Elles sont plusieurs à me regarder tout en chantant une mélodie magnifique. La plus proche de moi a les yeux vert eau, au niveau de sa taille son corps se transforme en queue de poisson. Loin de me gêner, je la trouve magnifique.

- Brian ! Bouche-toi les oreilles !
- Pourquoi ?! C’est si beau !

Je ne comprends pas vraiment ce qui suit. Juste que les femme-poisson, m’aiment pas vraiment la femme-panthère. La strate hiérarchique dans la chaine alimentaire fait son œuvre. La nuée de sirène fuit dans le fond du lac, alors que la panthère rugit son triomphe sur la berge.

- C’était quoi ?
- Des sirènes et tu t’es laissé prendre…

Nous rebroussons chemin vers la moto et je lance le dé….

Équipe : Bribri et Gros Minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : RP libre

Le dé nous fait rester au lac pour un tour à blanc. J’avise un camion pizza juste à l’entrée du chemin qui mène au lac.

Apres avoir demandé ses préférences à Mafdet, je vais nous chercher deux pizza et deux sodas.

Je reviens vers la féline qui s’est assise sur une souche d’arbre. Nous ouvrons nos canettes et trinquons. Je me sens encore un peu idiot avec cette histoire avec les sirènes. Mafdet m’explique comment elle les voit et surtout ce qu’elle entend de leur chant que je trouvais pourtant si sublime…

Équipe : Bribri et Gros minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Rp Libreuhh

Nous revenons vers la moto, Brian lance le dé… dommage l’hôtel du manoir, n’est pas pour tout de suite. Le policier me dit avoir faim et soif et me propose d’acheter de quoi piqueniquer au camion qui est sur l’air de parking. J’accepte et vais l’attendre assisse en bordure de forêt.

Nous dégustons sans un mot une pizza et un soda. Nous sommes les seuls présents. JE me demande comment le camion arrive à tourner avec si peu de monde.

- Bon, on y retourne ? Dis-je.

Brian acquiesce et me donne le dé. Voyons voir où nous allons atterrir…

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : hôtel
 
Intérieurement, je saute de joie. Voyant que Liam est encore sous le choc, je lui propose l’idée la plus simple mais la plus reposante que j’ai trouvée. Une petite pause au lac. Barboté dans l’eau, se prélasser comme l’avait fait Lydia par le passé.
 
Observant l’envie de Liam, je lui fais un clin d’œil, lui prends la main et le mène à la plage. On fonce sans attendre. Je n’ai même pas regardé si des gens nous observent. Je suis juste heureux d’avoir trouvé cette idée. Et le meilleur dans tout cela, c’est qu’elle plait à Liam. Je ne peux pas être plus content.
 
Je lâche Liam. Nous nous trouvons dans la forêt et je me retourne. La lisière de la forêt s’éloigne de nous, et revient assez vite. La plage arrive devant nous. Il n’y a personnes. Nous sommes que nous deux. Je souris, me déchausse et cours dans l’eau. J’y plonge, le lac est froid. Je sens que l’hiver approche, mais une fois dans l’eau, la fraîcheur disparaît.
 
Je me demande si Liam va venir jouer avec moi ? Je ne sais pas, mais je sors au bout d’un moment, dégoulinant de liquide. J’ai froid. Je tremble et vois Liam observer quelques choses dans le lac. Il se lève pour aller les rejoindre.
 
Je regarde le groupe. Deux filles qui nous font signes. Je me fou d’elle, me demande pourquoi, je ne suis pas intéressé par elle. Là, je ne m’inquiète que pour Liam. Il semble subjugué par leur chant… Chant. Cela me dit quelques choses.
 
Liam se rapproche du Lac. Il semble ne pas faire attention à mes cris. Je m’approche de lui pour le retenir. Je me sens un peu jaloux de le voir partir rejoindre les filles. Je souhaite qu’il reste avec moi et personnes d’autre. Mais ce mot, ce chant me dit quelques choses. Quoi ? Soudain, une fois que Liam met un pied dans l’eau, je m’en souviens. Sirène. Les femmes s’approchent de mon ami. Elles continuent à chanter et nagent comme des poissons. Ce sont des sirènes. Je le remarque à leur queue.
 
— Liam revient !
 
Je me jette sur lui. Les femmes sont devant nous. L’une d’elle tient le dé. Elle me propose un échange. Le dé contre Liam. Je la regarde, souris et refuse. Je me fou du dé, seul compte mon ami. Liam. Je le retiens pour ne pas le faire partir. Les sirènes se transforment doucement.
 
Je traîne Liam vers moi, le serre avec force. Il me griffe, essaie de sortir de mon étreinte mais je résiste. Je fais fi de la douleur.
 
Les deux femmes sont maintenant totalement transformer en monstre. Ce ne sont plus les deux belles femmes qu’elles étaient avant. Elle me regarde et convoite mon ami. Je ne leur laisserai jamais.
 
— Si tu les rejoins, elles t’empêcheront de protéger ton meilleur ami. Ne les écoute pas ! Regarde-les.
 
Nous sommes sur le sable. Les sirènes restent dans l’eau, chante. Pourquoi je ne suis pas aussi facilement envoûte que Liam ? Je le regarde et lui pose la question…
 
— Pourquoi je ne suis pas comme toi Liam ? Pourquoi leur chant ne me fait rien ? Je suis bizarre ?
 
Je sais que je n’obtiendrai aucune réponse, mais la poser me fait du bien.
 
Je retiens Liam jusqu’à ce que les filles partent au loin. Ont-elles comprise que je ne leur laisserai en aucun cas mon ami ? Que je ne veux pas le perdre ?
 
Au loin, les femmes lancent le dé. Elles le jettent sur Liam, pourtant je ne le lâche pas. Je le garde dans mes bras tant qu’il sera envoûté… 
 
 

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Hôtel

On a réussi à sortir vivant du bureau machiavéliquement puant. Béni soit la douce brise et l'odeur rassurante de la forêt. Caracole, tombant sur le lac, viens avec moi jusqu'à cet endroit. Notre dernier dé à cet endroit. Une petite tête dans l'eau ne me fera pas de mal. De toute façon, je suis déjà trempé avec ma douche improvisée de tout à l'heure.

Sans trop savoir comment, le brun me prends la main et me tire jusqu'au bord de l'eau. C'est assez déconcertant. On ne se tiens pas la main sans raison particulière. C'est un truc qu'on fait en maternelle pour entrer en classe ou ne pas se perdre en sortie. Là, c'est autre chose. Devant l'eau, je m'assois par terre en attendant.

Puis je regarde Caracole se déchausser puis plonger dans l'eau. Brrrr... Ma dernière plongée là dedans à refroidi mes précédentes ardeurs. j'hésite à y replonger. Se baigner c'est cool, frôler l'hypothermie, ça l'es moins. Soudain, j'entends un chant envoûtant. Une douce mélodie qui résonne dans mes oreilles.

Je regarde rêveur l'eau du lac et y décèle des ombres mouvantes. C'est de là que provient ce chant mélodieux. Je suis comme hypnotisé, il me faut à tout prix les rejoindre. Je me lève d'où j'étais et j'avance doucement mais surement vers les profondeurs du lac. Plus je me rapproche, plus elles m'attirent comme un aimant. Les deux plus belles créatures que j'ai pu apercevoir de ma vie m'appelle et m'invite à venir avec elles.

J'avance, les pieds dans l'eau, quand je suis retenu en arrière. Je grogne et tente de me débattre. Qui est ce qui m'interdit d'avancer ? Je ne fais rien de mal. Je veux juste rejoindre ces belles femmes qui me fascinent. Le chant est de plus en plus fort dans mon esprit. Je suis comme attiré par le lac. Il me faut à tout pris je j'y ailles.

C'est une envie qui me tord les boyaux. Tout ce que je vois, ce sont ces sublimes déesses qui se rapprochent de moi et leur chant angélique qui me rends tout cotonneux. Mais lâche moi ! Qu'est ce que t'as à me retenir ainsi? T'es jaloux ou quoi ? Je sais que je suis génial, beau et sportif mais ce n'est pas une raison pour m'approprier.

Je ne suis pas esclave. Je peux donc faire mes propres décisions et appliquer mes choix. Si je veux nager avec elles, je nages. Point final. Il n'y a pas de discussion dessus. Son étreinte est de plus en plus forte. Je le griffes, tente de le mordre et essaye de me défaire de ses bras autour de moi de façon plus ou moins orthodoxe.

Donner des coups dans les côtes flottantes, écraser le pied ou essayer de l'émasculer n'est pas très agréable à subir. Mais puissant dans une force inconnu, il tient bon et ne me lache pas malgré mes efforts pour qu'il fasse le contraire. Je me met même à l'insulter de tout les noms d'oiseaux que je connais et lui balance des jurons bien fleuris. Rien ne fonctionne.  

Nous reculons ou plutôt je me fait acculer en arrière à contre coeur vers la terre ferme. Loin de l'eau et de ces femmes qui me rendent tout flagada. Un ordre de leur part et j'obéis d'office. Tout à coup, je les vois s'éloigner. Je hurle pour qu'elles reviennent et ne me laisse pas seul ici. Je dois être avec elles. C'est un besoin vital sans que je ne le sache pourquoi.

Elles disparaissent de ma vue et le chant se tue. Comme un mur qui s'effondre, l'illusion se brise. Je regarde hagard les alentours puis fixe les bras de Caracole qui m'encercle la taille. Qu'est ce qui vient de se passer ? Mon dernier souvenir était d'être assis sur la berge à regarder le louveteau se baigner.

Je questionne Caracole sur ce qui vient de se dérouler et pourquoi nous avons fini dans cette situation ci. Pas que je déteste les câlins. C'est cool ces machins là. Mais se retrouver enlacer sans savoir comment je me suis retrouvé là, c'est moins drôle. Il me lâche de son étreinte et j'en profite pour récupérer le dé devant mes pieds. Je le lance tandis que les explications viennent.  

Équipe : Bribri et Gros minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : Rp Libreuhh

- Tu nous portes la poisse !

Je rage et démarre la moto et met les gaz alors que Brian a encore un pied à terre. Je me moque des excès de vitesse et enfument deux feux rouges. Je suis furieuse car nous faisons du surplace dans ce jeu.

Une tête à queue plus tard, je gare la Kawasaki dans un nuage de poussière. Je m’assois sur la souche d’arbre où j’avais mangé une pizza ce midi et tourne ostensiblement le dos au poulet.

Équipe : Bribri et Gros Minet
Numéro de la maison en cour d’acquisition : RP libre

- Tu nous portes la poisse !
- C’est un jeu de hasard ! Je n’y peux rien !

Je me rebelle enfin contre la belle. Panthère ou pas, j’en ai assez d’être le… poulet de la farce ! Nous nous prenons les dures lois de la statistique en pleine face. Il est évident que plus nous avancions, plus il serait difficile de tomber au bon endroit pour collectionner maison et hôtel.

Je serre les mâchoires de mécontentement alors qu’elle grille feu rouge sur feu rouge, sans parler de sa vitesse excessive. Il est clair que chat ou pas de Jordan, plus tard si je l’attrape à ces excès, je lui collerai une prune sans aucun remord e avec beaucoup de jubilation.

Nous revoilà donc au lac. Mafdet part bouder sur une souche d’arbre. Je m’étire un peu et vais me commander un café au camion-bouffe juste à côté. Je sors le dé et le lance… résigné à refaire une mauvaise pioche.

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : libre rp
 
Sortie du bar, je lance le dé, qui nous mène au lac. Je déprime et me sens heureux en même temps. Il s’est moqué de moi… Je me venge un peu. En une seconde, j’oublie tout ce qui s’est passé. J’ai du mal à lui en vouloir longtemps. Pourtant une colère se forme en moi. Je me lève sans attendre et y marche doucement. Je ne sais même pas si Liam me suit. Je me sens blessé. J’espère que personne ne viendra me voir, sinon, je ne serais pas gentil. Je dois me défouler un instant.
 
Je marche dans la ville pour partir ailleurs. Je cours vers la forêt. Un mec, avec un couteau s’approche de nous. Il nous menace, il veut notre argent et la bête de Liam. Jamais il ne touchera à Liam. Colérique, je l’envoie voler dans les airs, mais il revient. Le loup en moi, me transforme. Je deviens monstrueux. Il se jette sur moi et m’entaille la main. Je le regarde et l’assomme sans attendre.
 
Calmer, je me dirige vers le lac et attend Liam. Il va chercher le dé lui-même. Je ne bougerai pas d’un pouce. Je me fou de tout. L’eau est en colère. Le vent souffle et forme de grosse vague qui nous asperge par endroit.
 

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : RP Libre

Caracole tombe sur le lac... Bon, on ne peux pas avoir de la chance à tout les coups. Dommage. Pourtant il ne nous manque plus que le poste de police dont au début nous ne fessions qui passer et le pink print qui par contre devient difficile à obtenir.

Le brun pue un mélange entre la joie et la tristesse. Drôle de cocktail. Je pense qu'il est fâché du fait que je n'ai fait que me marrer lors de sa dance. Mais c'est pas de ma faute si la situation était hilarante.

Gizmo et moi tentons de nous faire petit pour ne pas attiser sa colère. La tentative est vaine puisque nous n'arrêtons pas de pouffer de rire à chaque fois que nous pensions à la scène. La colère de caracole prends le dessus sur ses autres émotions.

Tout à coup, on se fait racketer par un homme cagoulé. Enfin, le mec essaye. Jusqu'à que le loupiot l'envoies valdinguer dans les airs à la façon team rocket. Oh, il s'envole vers d'autres cieux !!! Ou pas. Je le regarde ahuri se crasher par terre puis se faire agresser par Caracole en mode lupin vénère.

Oulala, il est où mon louveteau trop timide et gentil pour taper une mouche ? Je m'accroche de toute mes forces au gremlin, me demandant si un démon n'aurait pas possédé Caracole entre temps.

Je scrute ses mouvements quand il assomme le pauvre gars bien amoché et il s'en va vers le lac. Ok... Se méfier des gentils bisounours, ils sont redoutablement dangereux. Sous le choc, je le laisse s'en aller plus loin.

Puis sans scrupule, je décide de fouiller les poches de notre racketteur du jour et tombe sur le dé dans sa poche de manteau. On a pas très loin à aller chercher ce machin. Je le lance avec l'aide de ma bestiole à poil nouvellement adoptée.

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : libre rp
 
Je lance le dé une nouvelle fois et j’espère pour la dernière fois. Ou pas, j’aime bien être avec Liam. Et rester longtemps dans le jeu me permet d’être avec lui. Le dé met un temps avant d’atterrir mais tombe sur le lac.
 
On ne peut pas toujours avoir bon. Et vu qu’il y a tellement de destination, on aura du mal à tomber sur la bonne. Je dois laisser ma chance à Liam la prochaine fois. Sans attendre, on court vers le lac. On passe la forêt et on se retrouve au lac.
 
Bon, maintenant, on doit chercher le dé. Je regarde Liam, inquiété par la suite. Il ne veut pas revoir les horribles sirènes. Je le comprends, rien que de revoir leur image, j’en ai la chair de poule. En plus, elles sont moches. Je ne leur laisserai jamais mon ami… Oui, je deviens possessif, mais bon, c’est cela de rester auprès d’un possessif.
 
Je regarde dans la plage, partout dans le sable sans trouver le dé. Je rejoins Liam après ma recherche infructueuse. J’espère que lui, l’a trouvé. Soudain, je vois une femme s’approcher de nous. Elle se pose vers Liam et lui donne le dé. C’est Lydia. Je le remarque à ses cheveux roux. Et surtout à l’excuse qu’elle lui fait. Elle lui sort alors une dernière allez bonne chance pour la suite.
 
 

Équipe : Les Télétubbies
Numéro de la maison en cour d’acquisition : RP Libre
 
Après que nous ayons réussi à détourner l'attention, Caracole pique le dé. Et le lance peu de temps après que nous soyons relâchés. On a presque rien fait de mal. Ce n'est pas comme si l'on avait tuer la moitié des gens présent à la banque puis voler une bagnole et tuer notre otage en freinant brusquement. Naaan...

Par contre, le dé est en train de nous reprocher d'avoir été arrêter. On est tombé sur le lac. Génial.... J'apprécie moyennement cette balade là bas. Peut être du fait que j'ai failli me noyer plusieurs fois dans les eaux profondes.

On va jusqu'au bord du lac, que je regarde avec crainte. Bon, moi, je vais chercher le plus loin possible de la source d'eau. Je sais pas pourquoi mais j'ai pas du tout envie de recommencer une nouvelle expérience sous marine.
 
On se sépare pour chercher chacun dans notre coin en vain. Puis lorsque Caracole viens me retrouver pour savoir si j'avais le dé recherché, Lydia dans toute sa splendeur, s'approche de nous dans sa délicate marche assurée.

Avancer en talons hauts dans les bois, il faut avoir du cran. Tel une reine d'Egypte, elle me donne le dé et me bafouille une sorte d'excuse ressemblant plus à un cadeau qu'elle me fait dans sa miséricorde. Je prends le dé et le lance. Allez mon coco, tu viens de la grande déesse maléfique mais sublime Lydia. Tu peux nous mener à la victoire !